(French text follows English text  -  Texte en français suit le texte en anglais)

 

On the subject of amateur examination

 

My own first experience was in Canada with the Department of Transport examiner in Montreal. I remember it very well. The test consisted of several parts, including an oral grilling.

 

The first element was CW receiving. In those days the examiners were real Radio Inspectors and knew their stuff. They were very intimidating. They had all been radio operators before getting office jobs.

 

The RIs in the Montreal office used CW as a form of intercom. Each had a key and oscillator on their desks. I was ushered to the RI's desk and he handed be several sheets of paper and a pencil. "Wait here" he told me and walked away.

 

I remember seeing what looked like a couple of 51J-(3 or 4 receivers in a rack (obligatory Collins content!). A few minutes later I heard some code coming from his intercom speaker. It was a message for him about some regulation change so I copied it down for him as a last minute practice session. When he returned I handed him the message and he told me I had just passed my Morse Code receiving test.

Then I was given the key and told to send. He made me do it for five minutes at 10 WPM. Then the written, three elements, regs, theory and eight schematic (not block!) diagrams. Finally the RI collected my sheets and told em to wait. It wasn't over - there was the final element - the oral! It seemed like an hour but in reality was about ten minutes of questions based on my schematic diagrams with a few regulatory questions
thrown in for good measure.

I only found out I passed five days later when my Certificate of Proficiency in Radio arrived by Registered Mail. I was then "invited" to go down to the DoT office to apply for a station licence which I did immediately.

( memories of Michael Cresthol )

 

 

Au sujet des examens radio amateur

 

Ma première expérience personnelle le fut au Canada avec un examinateur du Ministère des Transports, je m'en souviens très bien. L'examen comprenait plusieurs parties incluant une 'torture' orale.

 

Le premier élément fut la réception du code morse. En ce temps là, les examinateurs étaient de vrai inspecteurs de radio et ils connaissaient leur affaire. Tous avaient été opérateur de radio avant de devenir inspecteur.

 

Les inspecteurs du bureau de Montréal utilisaient le code morse tel un intercom. Chacun avait une clé et un oscillator sur son bureau.  On me dirigea vers le bureau de l'inspecteur and il me donna plusieurs feuilles de papier et un crayon. '' attendez ici '' me dit il et il s'en alla.

 

Je me souviens d'avoir vu ce qui ressemblait `quelques 51J- ( 3 ou 4 récepteurs dans une baie - obligatoirement du contenu Collins ! ) Quelques minutes plus tard, j'entendis du code morse sur son haut-parleur d'intercom. C'était un message pour lui à propos d'un quelconque changement au réglement alors je copiai le message pour lui pour une pratique de dernière minute. Lorsqu'il revint, je lui remis le message et il me dit que je venais de passer cette partie de l'examen.

 

Il me passa la clé et me dit de transmettre, pendant 5 minutes `10 mots par minute. Ensuite, la partie écrite comprenant les réglements, la théorie ainsi que 8 diagrammes ( pas des synoptiques ). En terminant, l'inspecteur pris mes feuilles et me dit d'attendre.  Ce n'était pas terminé, il restait la partie oral.  Cela m'a semblé un heure mais en fait, ce ne fut que  dix minutes de questions basées sur mes diagrammes en plus de quelques autres concernant le réglement pour compléter le tout.

 

Ce n'est que cinq jours plus tard que mon certificat m'arriva par Poste recommandée. On m'invitait à passer au bureau du Ministère pour présenter une demande en vue d'obtenir une licence ce que je fis immédiatement..

 

( souvenirs de Michael Cresthol, traduits par Laval 26.01.2006 )

 

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